Le musée, lieu de rencontres internationales
Au cours de la dégustation, les visiteurs de tous horizons se pressent autour de la fontaine et se parlent. Chacun hume l'absinthe des autres, fait des commentaires puis tourne doucement les robinets pour faire le goutte à goutte de l'eau sur les sucres.
C'est ainsi que Éric Larsen, chercheur dans le département d'écologie humaine à l'Université de Davis en Californie a sympathisé avec une jeune femme de Toronto (Canada) et un londonien. Éric est passionné par l'absinthe et a déjà goûté quelques marques. Il voulait en savoir plus sur l'histoire et avait pris rendez-vous il y a quelques mois. Nous avons passé beaucoup de temps ensemble. Un échange très agréable, d'autant qu'Éric parle bien français.
Argentins et colombiens ont également souhaité déguster après la visite. Un moment très gai qui, je pense, leur laisseront un bon souvenir.
Et puis enfin, Genny, une charmante coréenne venue toute seule et qui a absolument voulu connaître quel goût avait cette absinthe dont on parle. Elle a beaucoup aimé, fait des selfies et est repartie ravie avec une branche d'absinthe.